mercredi 27 mai 2015

Azur et Asmar : un petit bijou à découvrir ou redécouvrir ! #MercrediJourDesEnfants

Comme souvent, ce week-end, j'ai emmené les mousticks au cinéma, dans notre cinéma. C'est un cinéma de quartier qui a trois salles, où un film passe trois fois dans la semaine, où le programme de la semaine est un casse-tête, où l'on peut voir de "vieux" films. Cette semaine, nous sommes allés découvrir Azur et Asmar de Michel Ocelot.

Synopsis :
Dans l'Europe médiévale, une nourrice venue de l'autre côté de la mer élève son fils Asmar, brun aux yeux noirs, et le fils de son maître, Azur, petit garçon blond aux yeux bleus. Arrivés à l'âge où ils se jalousent l'amour maternel, Azur est envoyé en ville par son père pour vivre avec un précepteur. Au même moment, le père chasse la nourrice et son fils.
Dix ans plus tard, Azur décide de partir dans le pays de l'autre côté de la mer pour, comme son frère de lait, retrouver et épouser la fée des djinns, dont sa nourrice leur racontait jadis l'histoire. Une vague le fait passer par-dessus bord et tomber à la mer. Il échoue sur une plage d'un pays inconnu, où il ne reconnaît qu'à peine la langue de sa nourrice et où il fuit des habitants qui craignent la « malédiction des yeux bleus ». Il erre en se faisant passer pour aveugle, guidé par Crapoux, un mendiant qui parle sa langue, et en recherchant les trois clés nécessaires pour accéder à la fée des djinns.
En ville, il retrouve sa nourrice, devenue une riche marchande. Malgré la rancœur qu'Asmar garde envers le père d'Azur qui l'a chassé, Jenane décide de soutenir équitablement ses deux fils dans leur quête de la fée des djinns.
Ce que nous en avons pensé : les mousticks ont adoré ce film, ils se sont complètement retrouvés dans la relation fraternelle que partage Azur et Asmar, ils ont été captivés par la beauté des images, ils ont ri, se sont laissés bercer par les chants de la nourrice. Pour ma part, la poésie de ce film m'a beaucoup touché, j'aime la manière dont les liens fraternels, la différence sont traités. Ce film est en arabe et en français, sans aucun sous-titre et à aucun moment cela ne nous a posé problème, les dialogues en arabe sont mélodieux et poétiques. On est conquis !

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