Je pensais vraiment en être sortie. Et j'ai pêché par orgueil ... Le moustizèbre a passé une semaine chez ses grands-parents la première semaine des vacances de la Toussaint. Il est rentré fiévreux. Ma belle-mère, médecin, me rassure et me dit que l'examen est normal et que c'est juste un rhume (c'est vraiment pratique une belle-mère médecin). Deux jours après son retour, des boutons commencent à apparaître et la fièvre tombe. Verdict : roséole. Ça explique son état général et comme les boutons sont là, je me dis que nous touchons à la fin. Seulement 24 heures après, je le retrouve endormi sur le parquet dans sa chambre, très rose et avec un pic de fièvre à 39°c, je vous avoue que, à ce moment-là, j'ai eu un bon coup au cœur. Alors que lui s'est endormi pour 13h d'affilée, moi je me suis levée 10 fois pour vérifier son état (qui à part la fièvre était bon). Il s'est réveillé frais comme une rose, moi avec des cernes à faire peur. J'en retire plusieurs morales :
- ne jamais croire que j'en ai fini avec les maladies infantiles
- quand 99% des cas n'ont plus de fièvre après l'éruption des boutons, il reste le 1% contraire
- s'il dort profondément, j'ai le droit de dormir.
Appétissant, non ? |
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