Cette année, sera la dixième année du partenariat entre l'UNICEF et Pampers. En neuf ans, cette action aura permis d'éradiquer le tétanos maternel et du nourrisson dans seize pays.
Le succès de cette association est une affaire de tous. Ensemble, nous pouvons aider l'UNICEF et Pampers à lutter contre ce fléau. Pour cela, il suffit de s'associer à l'action de Valérie Lebègue et de Camille Lacourt.
Comme Valérie et Camille l'explique, c'est simple de participer. Il y a trois possibilités, à partir du 1er octobre et jusqu'au 31 décembre :
pour un paquet de couches Pampers acheté, Pampers offre un vaccin à l'UNICEF
pour un like sur la page Facebook, Pampers offre un vaccin à l'UNICEF
pour un tweet ou un retweet avec le hashtag #PampersUNICEF, Pampers offre un vaccin à l'UNICEF
Nous pouvons tous s'impliquer dans cette lutte. Alors à vos marques, prêts, partez !
Avec le moustizèbre, je danse au quotidien. Je danse entre ses questions sur la généntique et le type de cellules capables d'accueillir de l'ADN de dinosaure et ses difficultés à couper sa viande.
Comment dois-je m'adresser à cet enfant qui à un discours digne d'un adulte, discours qui s'appuie sur de solides connaissances et à ce même enfant qui est "déconnecté" de la réalité ?
Je trouve que, dernièrement, je gronde plus que je ne félicite parce que le quotidien c'est le quotidien, que c'est compliqué quand enfiler son pantalon à l'envers ne te pose aucun souci et que je dois te le signaler (parce que non je ne souhaite pas que tu sois la risée de tes copains). Je ne trouve pas le rythme de ta danse, danse qui pourtant mérite d'être dansée.
Le monde pourrait s'écrouler qu'il ne bougerait pas
Petit à petit, on retrouve notre rythme de croisière. Je vous rassure, il y a encore des ratés, comme par exemple mon oubli d'aller chercher le panier de l'AMAP et pas moyen de le récupérer. Malgré cela, je me sens moins débordée et j'ai moins l'impression de courir dans tous les sens pour rien. D'ailleurs cette semaine au milieu du train-train : école - boulot - métro - maison, nous sommes allés au lancement de la saison Cinékids, saison qui démarre en fanfare sur le thème de la magie, j'ai eu le plaisir d'aller me faire masser par Noémie, créatrice d'Osmos. Un moment de pur plaisir à offrir à tous et à toutes et tout particulièrement à la femme enceinte. J'ai pris plaisir à repasser avec la centrale vapeur Carestyle 5 de Braun, un truc de dingue ! Et, pour leur plus grand bonheur, les mousticks ont pu tester de nombreuses activités au Défistival. Enfin, j'ai décidé de défier mes 40 ans et j'ai rejoint la team TomTom pour faire les 20km de Paris et de reprendre mon périnée en main avec Femifree.
Voici un petit résumé en images de cette jolie semaine, sur une idée de Madame parle.
Atelier autour des marionnettes dans les films d'animation
Si je vous dit 18h39 en ce qui concerne le quotidien des français, vous pensez à quoi ?
Personnellement, je me suis dit que c'était l'heure moyenne à laquelle les français rentraient chez eux le soir ou bien encore le nombre d'heures par semaine que les français passaient en moyenne devant la télé.
En réalité, selon le cabinet Francoscopie, c'est le nombre d'heures moyen que les français passaient quotidiennement chez eux. 18h39 ! C'est énorme alors autant être bien chez soi !
Partant de cette statistique, Castorama vous propose quotidiennement un rendez-vous autour de la maison sur son site 18h39.fr. Chaque jour, un nouvel article dans l'une des trois rubriques : Vivre, Transformer, Innover. La ligne éditoriale : une vision décalée, innovante et néanmoins pratique.
Je l'ai parcouru avec plaisir, tout particulièrement parce que ce n'est pas un site marchand, mais plutôt une boîte à idée. Évidemment, il y a des liens vers les produits Castorama mais c'est loin d'être réduit à cela. Prenons par exemple l'article "Être autonome dans la salle de bain". On y trouve d'excellentes idées comme un mitigeur intelligent qui change de couleur quand l'eau est trop chaude, des meubles avec marche-pied intégré, un lavabo d'apprentissage à poser sur la baignoire (de chez oxybul), mais aussi un lien vers un billet des vendredis intellos qui donne des conseils à ce sujet, conseils issus de la pédagogie Montessori. De plus, le ton est humoristique et décalée.
Aujourd'hui sort dans les salles le nouveau documentaire de Pascal Plisson : Le grand Jour
Synopsis:
Aux quatre coins du monde, de jeunes garçons et filles se lancent un
défi : aller au bout de leur rêve, de leur passion et réussir l'épreuve
qui va bouleverser leur vie. Ensemble ils vont vivre une journée unique
celle de toute les espérances.
Nous avons eu la chance d'aller découvrir ce film en avant-première le grand Lion et moi. Je partais conquise parce que Pascal Plisson est le réalisateur du documentaire Sur le chemin de l'école que j'avais adoré, pour sa réalité, pour ses images, pour ses histoires. Le grand lion, de son côté, avait un peu peur de ne pas accrocher parce que c'était justement trop accrocheur.
Nous avons donc découvert les histoires de Nidhi, de Deegi, d'Albert et de Tom, qui ont chacun un but très clair et qui pour réussir doivent passer un "examen". On a suivi leur préparation, mais aussi le soutien de leur entourage, de leurs enseignants et on les voit passer leur examen. Certains réussissent, d'autres pas. C'est difficile, on s'attache à eux et on aimerait qu'ils réussissent tous. Une chose est sûre : leur volonté d'atteindre leur objectif mérite toute notre considération.
Le documentaire est tourné de manière très simple. À aucun moment, on a l'impression que les enfants ont été dirigés, nous sommes tout simplement spectateur de leur vie. Et ils donnent de jolies leçons.
Vous l'aurez compris, nous sommes sortis emballés par ce film. Pour que les enfants en profitent au mieux, il me semble qu'il faudrait qu'ils aient au moins 8-9 ans.
Voilà trois semaines que les mousticks ont repris le chemin de l'école, il aura donc suffit de trois semaines avant le retour de cette affiche :
Rien que de voir l'affiche, j'ai la tête qui gratte. Jusqu'à présent, les mousticks sont toujours passé à travers les poux, ils n'ont pas une "tête à poux". Mais cela ne veut pas dire que jamais ils n'en auront et je préfère me prémunir contre cette éventualité.
Nous avons donc dégainé la lotion répulsive Parasidose. Composée d'un
agent répulsif et d'huiles essentielles, je la pulvérise sur la tête des mousticks après le shampoing. Son action longue durée (48 heures) permet que cela ne perturbe pas notre routine du quotidien.
De même toujours en préventif, je pulvérise le spray environnement Parasidose dans le casque des mousticks : un échange de casque est si vite arrivé au roller ....
Au cas où (et pour conjurer le sort), j'ai dans ma salle de bain un soin traitant Parasidose à pose rapide (15 minutes). Mais nous n'en aurons pas besoin !
Je vous laisse, je vais me gratter la tête ....
Cette semaine, les activités de mes mousticks reprennent (hourra !). Ils vont pouvoir aller dépenser toute l'énergie stockée dans leur corps (et même si le corps est petit, l'énergie est concentrée). Ce week-end, j'ai donc joué à "Enfile ton matos" pour évaluer les besoins.
Cette année, pour nous, sera une année sans frais. Pour le ouistiti, les baskets pour l'activité multi-sport et la gym seront celles qu'il utilise à l'école. Grâce au système multi-taille des rollers enfant Décathlon, le moustizèbre garde ses rollers et le ouistiti hérite des anciens rollers du moustizèbre, que j'avais gardé précieusement. En effet, en plus d'être multi-tailles et à un prix raisonnable (30€), les rollers décathlon sont de bonne qualité et après avoir roulé trois ans pour le moustizèbre sans aucun souci, ils reprennent du service avec le ouistiti.
Avant de faire la séance d'essayage, m'attendant à ce que rien ne convienne, j'avais un tour sur le net pour voir ce que je pouvais trouver d'occasion. J'ai ainsi découvert que Décathlon, fort du succès des trocathlons annuels, avait décliné cette offre sur le net en ouvrant le site Trocathlon.fr. Cette offre permet au vendeur et à l'acheteur de bénéficier du conseil des équipes de Décathlon, d'avoir des produits vérifiés gratuitement (ce qui évite la mention Très bon état alors que le produit est totalement rayé) et si le vendeur le souhaite de pouvoir effectuer les transactions en magasins, ce qui apporte une sécurité financière.
Un bon plan auquel je ferai appel pour les sports d'hiver !
Une semaine où je n'ai pas vu le jour, où le boulot a occupé mes jours et mes soirées. Heureusement j'ai tout de même pu épargner à peu près mes week-ends. La semaine dernière, j'ai couru la Parisienne avec la team Femifree, je me dois de saluer toutes les animations mises en place autour de cette course qui m'ont permis d'oublier le temps de cochon qui nous a accompagné toute la matinée. Au final, je termine en 41 minutes 23 secondes. Pas un temps exceptionnel mais un temps qui me remet dans le rythme (cet été j'ai eu beau courir régulièrement, j'ai perdu en rapidité). Pour fêter cela, avec les mousticks nous sommes allés voir Le petit Prince, une excellente surprise.
Ce week-end, nous sommes allés au centre Pompidou pour l'ouverture de la saison de la création en famille. Comme toujours la qualité des ateliers était au rendez-vous, les mousticks ont adoré retrouver les créations de Jan Kopp, développer un quartier à le Mondrian, dansé pendant le DJ set. Un très bel après-midi !
En voici un résumé en images, sur une idée de Madame parle.
Rien ne vaut un bon sac poubelle
Nous ne sommes pas seules
Prête à partir
C'est l'automne !
Quel plaisir de retrouver les copines dans le magazine Picard !
Je ne sais pas comment sont vos enfants, mais emmener les mousticks au restaurant "classique" relève du suicide. Comment réussir à les faire rester assis pendant une bonne heure, sans parler fort, sans s'impatienter entre les plats, en mangeant des choses qu'ils aiment ? J'avoue que j'ai jeté l'éponge (en particulier dans les brasseries parisiennes qui sont tout sauf kidfriendly) ou alors on déploie l'artillerie lourde : ipad, DS et on perd tout l'aspect convivial du repas au restaurant.
C'est une frustration pour tous : j'aime aller au restaurant, j'aime mes enfants et j'aimerais pouvoir faire les deux en même temps (surtout que parfois c'est bien utile). Grâce à Flunch et au menu Les petits Fluncheurs, nous avons trouvé la solution : un repas à leur goût, à leur rythme, dans un cadre prêt à accueillir des enfants. Un vrai repas de fête en famille !
Les mousticks ont adoré avoir leur propre plateau, leur propre frigo où faire leur choix, leur propre espace et ont dévoré leur repas. Ici pas de temps d'attente : on choisit, on met sur son plateau et on mange. De plus, le menu des petits fluncheurs est composé d'un plat avec les accompagnements à volonté, une boisson, un dessert et un jouet. Le plat est à choisir parmi trois choix : steak hachés, nuggets ou poisson pané et on retrouve les frites, les haricots verts, les petits pois, les carottes parmi les accompagnements.
Facile de faire un repas qui leur plaise tout en restant équilibré ! Le tout pour 3,95€ par enfant (si l'adulte prend un repas d'une valeur de 4,95€ minimum). On a tous profité de ce moment en famille. Que demander de plus !
Grâce à Flunch, j'ai la possibilité d'offrir à l'un ou l'une d'entre vous un repas pour deux adultes et deux enfants chez Flunch d'une valeur de 27,90€. Pour tenter votre chance, il suffit de :
• me dire quel serait le choix de votre enfant pour le plat dans son menu Petit fluncheur
• me laisser une adresse mail valide
• le tout avant lundi 21 septembre 20h.
Tout partage sur les réseaux sociaux indiqué par un lien valide donné en commentaire vous donne une chance de plus. Pour les remercier, vous pouvez liker la page FB de Flunch et pour me faire plaisir, liker celle du blog.
Parce que je trouve leur campagne vraiment sympa et à l'image de mon expérience Flunch, je la partage ici :
EDIT : Avec beaucoup de retard j'ai fait le tirage au sort
Au milieu de l'été est sorti Le petit Prince. J'avais vu passer les bandes d'annonce début juillet et je n'étais pas plus emballée que cela. Je n'avais aucun regret de savoir qu'il sortirait alors que nous serions en Espagne et donc dans l'impossibilité de le voir. Dimanche dernier, après avoir couru la Parisienne, j'aspirais à une activité calme avec les Mousticks. J'ai donc ouvert l'appli de notre cinéma de quartier, Le Chaplin, pour voir quels films ils passaient : Vice Versa, déjà vu deux fois, Les minions, idem et le Petit Prince. Leur choix s'est donc porté vers le Petit Prince (et je me suis dit que j'allais en profiter pour faire la sieste).
Quelle erreur ! Ce film est un concentré de douceur, de poésie, une leçon pour tous les parents que nous sommes et qui ne voient que par la réussite scolaire (et je m'inclus dans le lot). Il devrait être montré à tous les parents afin de laisser leur enfance à leurs enfants et ne pas les projeter dans notre monde d'adulte. On retrouve évidemment le Petit Prince mais il est aussi prétexte à unir deux personnages très attachants, à rendre à une petite fille son statut d'enfant. Nous avons tout simplement adoré tous les trois, nous avons ri, j'ai pleuré, j'ai été touchée par cette mère emportée par le quotidien.
Vous l'aurez compris : allez-y !
J'ajoute ici le synopsis tiré d'allociné que je trouve très juste :
C’est l’histoire d’une histoire. C’est l’histoire d’une petite fille, intrépide et curieuse, qui vit dans un monde d’adultes. C’est l’histoire d’un aviateur, excentrique et facétieux, qui n’a jamais vraiment grandi. C’est l’histoire du Petit Prince qui va les réunir dans une aventure extraordinaire.
La majeure partie des temps que je m'accorde, rien que pour moi, je cours. Je cours pour le bienfait physique, je cours pour le bienfait moral.
J'ai commencé à courir il y a bientôt 10 ans, parce que c'était ce qui était le plus simple à caser dans mon emploi du temps. J'ai couru tranquillement, sans me poser de question jusqu'à ma première grossesse. Quand j'ai accouché du moustizèbre, l'accouchement a été difficile et mon corps et tout particulièrement mon périnée en ont souffert. L'accouchement du ouistiti deux ans après n'a fait que renforcer la faiblesse de mon périnée. J'ai fait mes séances de rééducation périnéale, j'en ai même fait beaucoup plus que la plupart (40 en tout après les deux accouchements) mais je n'ai jamais récupéré un sentiment de sérénité vis à vis de mon périnée. Parce que j'ai découvert qu'éternuer, rire, marcher quand j'avais envie de faire pipi était devenu risqué. Une goutte est si vite arrivée.
Reprendre la course a été source d'angoisse. Si je ne vais pas aux toilettes juste avant de sortir courir, je pense constamment à la possibilité d'avoir un accident, accident qui m'est déjà arrivé. Je ne peux décrire d'ailleurs ce moment d'humiliation pour moi (du coup j'ai été vachement plus cool avec les accidents des mousticks). Cinq ans après la fin de ma rééducation périnéale, je retrouve une certaine sérénité parce que mon périnée va mieux mais aussi tout simplement parce que j'ai très bien identifié les situations à risque et que je les aborde autrement. Par exemple, lorsque je participe à une course officielle, comme la Parisienne dimanche dernier, je porte un tampon. Mécaniquement, le tampon permet d'éviter les fuites. J'avoue que cette angoisse ne m'a jamais empêché de faire des choses mais m'a fortement inquiétée.
Voici les résultats d'une enquête menée par Femifree sur
Vous imaginez : 56% des femmes qui souffrent d'incontinence urinaire évitent de sortir. Cette incontinence leur pollue totalement la vie.
Dans mon cas, la rééducation périnéale a servi mais n'a pas totalement résolu le souci. Parce que mon périnée est un peu pourri à la base (et c'est de famille), parce que j'ai eu un accouchement particulièrement difficile, parce que c'est comme cela. À la ménopause, avec les changements hormonaux qu'elle apporte, j'aurai très certainement beaucoup plus de soucis. Alors avant d'arriver à une situation qui pourrait m'empêcher de sortir, je vais tenter l'auto rééducation périnéale avec Femifree.
Le principe est simple, c'est une éléctrosimulation mais la bonne nouvelle est que le système est non invasif. On enfile un cuissard, on s'installe avec un bon bouquin / une bonne série et on fait une séance de trente minutes.
Le dispositif Femifree coûte 399€. Si vous avez une ordonnace, il est pris en charge en partie par la sécurité sociale. Pour ma part, c'est sûr je me lance. Je rêve de retrouver l'insouciance de mes 20 ans ! Je vous tiendrai informée de l'évolution de la chose.
Parce que je suis une Maman mais pas que, que je vuex être libre de tous mes mouvements, n'est ce pas Céline ?
Scène classique au zoo : le moustizèbre doit faire quelque chose, je lui répète deux millions de fois de le faire, quand enfin il s'y met il fait les choses sans y penser et se retrouve avec au choix, un tee-shirt à l'envers, du dentifrice dans les cheveux, une pile de bouquins qui s'effondre ...
Exaspérée par la situation, je m'exclame :
- Mais ce n'est pas possible, tu es pfffff ! (l'exaspération m'en fait perdre mon latin)
Et lui de me répondre :
- je sais, je suis pffff !
D'une situation d'énervement (récurrente), d'un désarmement parce que je ne sais pas comment lui enseigner que cela va souvent plus vite de faire les choses lentement au bon moment que rapidement dans l'urgence, il s'est trouvé une définition. Il pense qu'il est pffff.
Alors que le moustizèbre est tout sauf pfff, il est gentil, il est malin, il est attentionné, il est juste (je vous rassure, il est chiant aussi). Je lui ai dit mais je sais que si demain la situation recommence ( et cela arrivera), je suis capable de redire : tu es pfff et alors tout mon discours pour lui démontrer que non, ne tiendra plus.
Les enfants n'ont pas ce recul vis à vis du langage que peut avoir un adulte et il faut que je soigne le mien pour préserver au mieux mes mousticks.
Une semaine chargée entre le zoo, les mousticks, le boulot et la découverte de tout ce qui se prépare pour Noël. Une semaine un peu en apnée par le rythme que je me suis imposée, mais une semaine que j'ai apprécié par sa diversité.
Voici un petit retour en images sur cette semaine, sur une idée de Madame parle.
Partir à la découverte des trésors cachés de l'Égypte antique dans les jardins des Tuileries grâce à la chasse au trésor autour de l'exposition Osiris Mystères engloutis d'Égypte : un moment en famille, à profiter de Paris.
Reprendre les bonnes habitudes au zoo.
Avoir la visite d'un voisin qui m'amène un paquet arrivé pour moi pendant les vacances et être touchée de toutes les attentions de Topicrem.
Découvrir les nouveautés de Noël chez Oxybul éveil et jeux et se dire que, cette année encore, le père Noël ira se fournir chez eux.
Découvrir les nouveaux parrains de l'opération Pampers - Unicef pour sa dixième édition et faire un voeu pour que cette opération soient une fois de plus un succès.
Préparer les cadeaux de Noël pour les plus grands avec Netflix
S'émerveiller devant le nouveau documentaire de Pascal Plisson : Le grand jour