vendredi 16 octobre 2015

Les baskets Kalenji : les baskets qui n'ont rien à envier aux autres ! #C'estSportLeVendredi

En course à pieds, on ne peut pas se passer d'une bonne paire de baskets. Il faut trouver la paire qui nous convient et ce n'est pas toujours simple. Par habitude, pour être rassurés, le grand Lion et moi choisissions toujours nos chaussures dans les grandes marques : Mizuno, Adidas, Saucony, ... Mais parfois on a des surprises. Voici celle du grand Lion :

Ma saison de course 2015 commençait plutôt bien. Jusqu’au 4 juillet vers 23h00. D’ailleurs, si on vous propose de courir la nuit dans le noir en pleine forêt, ne faites pas comme moi, réfléchissez et dites-vous qu’on peut facilement s’exploser la cheville en mettant son pied dans un trou. Craaaaaac. L’entorse. En plus de la douleur et de l'oeuf violacé qui poussait sur ma cheville, une charmante infirmière de la Croix Rouge m’a dit : « à votre âge, il faut vraiment aller passer une radio, hein ? ». No comment...

Après 1 mois d’attelle, de repos et de boitillement, j’ai essayé de reprendre doucement les sorties. C’était les vacances, il faisait très chaud et j’en ai salement bavé. Chaque pas était un vrai cauchemar. J’étais complètement rincé au bout de 30 minutes et c’était assez déprimant.

Mais la déchéance ne s’arrête pas là. De retour à la vie parisienne, j’ai essayé de reprendre l’entraînement. Mais là, j’ai commencé à ressentir des douleurs très fortes pile entre le talon d’Achille et le mollet. A chaque tentative, la douleur revenait de plus en plus fort et de plus en plus rapidement. La dernière fois, j’ai été obligé de m’arrêter au coin de la rue… J’ai fini par me dire que ça venait de mes chaussures, pourtant encore récentes, mais avec un drop 0. Peut-être me fallait-il repasser sur une chaussure classique et recommencer la trèèèèès lente transition vers le minimalisme et je me suis donc mis en quête d’une nouvelle paire de running.


Bien sûr, je ne voulais rester dans un budget raisonnable car je pensais qu’il s’agirait d’une paire temporaire, le temps de me réhabituer à mes belles Adidas. Je suis donc allé chez Décathlon pour pouvoir essayer plein de modèles différents. Et c’est ce que j’ai fait : tout le rayon y est passé ! Il y en avait plein qui allaient correctement mais elles étaient hors budget. J'étais indécis jusqu’à ce que j’essaie les KIPRACE H. Et là, c’est le coup de coeur : ultra légères, confortables et pas chères ! En magasin : super. À voir sur le terrain.

Dès la première sortie avec les KIPRACE H, elles tiennent leurs promesses. Je tiens 7km avant l’apparition des douleurs, 7km de bonheur et la première éclaircie de cette mauvaise passe. Enfin ! Depuis, je rallonge doucement les sorties et dimanche, j’ai pu refaire 10km sans douleur :-) Les KIPRACE H m’ont apporté légèreté et un dynamisme qui n’a rien a envier aux « grandes marques ». Leur drop de 10 semble bien adapté à mon cas. J’en suis extrêmement satisfait et, contrairement à mes plans initiaux, elles ne sont pas prêtes de retourner au placard ! Mes doutes (voire mes préjugés...) sur les produits Décathlon running, eux, vont y retourner vite fait !  

jeudi 15 octobre 2015

Maman mais pas que Saison 2 Épisode 19 : Une chasse au trésor qui fait du bien

Dernièrement, j'ai pris beaucoup de temps pour moi (une conséquence certaine de cette rubrique, merci Céline !). J'ai fêté les 10 ans de ma librairie préférée, j'ai couru 20 km, je suis sortie avec les copines et j'ai fait une chasse au trésor !

Lundi dernier j'avais rendez-vous dans le marais avec Parisienne à Vincennes, Aurélie Expressions d'enfants et Thalie à Paris pour relever le challenge de Contrex. Un roadbook, un stylo, un smartphone, voici les armes que nous avions.
Nous avons répondu à différentes énigmes sur l'eau contrex


 
nous avons arpenté les rues du marais et nous avons couru un sprint final de folie. Mais cela valait complètement le coup : nous avons beaucoup ri, passé un très bon moment ensemble et nous avons GAGNÉ !

Et nous avons été vraiment très gâtées !



Contrex a complètement raison : il est beaucoup plus simple de faire de l'exercice quand c'est drôle, quand il y a un challenge, quand on est plusieurs à se motiver !

Parce que nous sommes toutes Maman mais pas que ! , n'est-ce pas Céline ?

mercredi 14 octobre 2015

Nos dernières sorties ciné : Le voyage de Tom Pouce et Worms #MercrediJourDesEnfants

Dernièrement nous avons vu deux films un peu différents avec les mousticks.

Tout d'abord, nous avons vu Le voyage de Tom Pouce, film de Bretislav Pojar, František Váša, Bára Dlouhá dans le cadre de Cinékids.


Synopsis :
Au royaume de Tom Pouce, la compétition est serrée... Qui remportera la main de la princesse ? Qui aura la plus belle des voitures ? Qui réussira à être le plus malin ? À vos marques... prêts... partez !
- Une princesse qui ne riait pas : Un roi promet la main de sa fille à la personne qui réussira à la faire rire ! Un jeune garçon tente sa chance et part à la rencontre de la princesse à bord de son drôle de bolide.
- Le Pêcheur Marsicek : Un homme, passionné par la pêche, se voit proposer par le Poisson Roi de lui exaucer un vœu... Quel sera son souhait ?
- Le Voyage de Tom Pouce : Les aventures enchantées et périlleuses d’un garçon de très petite taille... mais très débrouillard !

Ce que nous en avons pensé : Ce film tchèque, composé de trois courts-métrages, est un petit trésor de poésie. Chaque court met en scène des marionnettes, mais le style est différent pour chacun. On s'évade dans ces courts, on rit, on s'émeut, on se reconnait. Les mousticks ont particulièrement aimé l'histoire de Tom Pouce qui prouvre qu'êter malin surclasse généralement tout un tas d'autres qualités. Pour ma part, j'ai été très touchée par Le pêcheur Marsicek : la mise en scène est fabuleuse, les marionnettes inédites pour moi et surtout l'histoire est très contemporaine et nous rappelle combien nous sommes influencés par la société de consommation.

À voir !

Nous sommes aussi allés voir Worms, film de Paolo Conti.


Synopsis :
Junior, un ver de terre, adore jouer au worm-ball. C'est sa grande passion. Sauf qu'il n'est pas très doué. Sur le terrain, les autres joueurs ne cessent de le taquiner. S'il était meilleur, Junior est persuadé qu'il aurait des amis. Alors que ces derniers lui lancent un défi, une pelleteuse les entraîne à la surface. La grande aventure commence. Junior et ses amis rencontrent l'intrépide Linda. Ensemble, ils doivent mettre hors d'état de nuire un redoutable méchant. Celui-ci utilise l'hypnose pour transformer ses victimes en esclaves. Toute la troupe aura bien besoin d'un super-héros pour mener leur mission à bien...
Ce que nous en avons pensé : Les mousticks ont bien aimé, ont ri des différents gags. Pour ma part, je n'ai pas été emballée : je trouve les idées véhiculées intéressantes mais le film s'étire vraiment en longueur. Vraiment rien d'exceptionnel.
 

mardi 13 octobre 2015

Le fail de l'huile sèche fermeté de Nivea

Si vous me lisez régulièrement, vous savez que je change régulièrement de crème hydratante pour le corps. J'alterne les marques, les qualités et aussi les textures. Après un baume très riche, j'aime une texture plus légère comme certains laits. Après une émulsion, j'aime retrouver le cocon de la crème.

Il y a deux semaines, je suis arrivée au bout de ma crème, une crème très riche justement. J'ai commencé à fouiller dans mon stock à la recherche du soin hydratant suivant. Et là je tombe sur l'huile sèche fermeté Q10+ de Nivea. J'aime beaucoup les huiles sèches, j'aime chauffer ma peau en les appliquant, j'aime cette sensation "sèche" tout de suite après l'application. Je l'entame donc avec, uniquement, des a priori positifs.


Dès la première application, j'ai confirmation du côté "huile sèche". Pas de sensation grasse après la pose, pas de vêtement qui colle à la peau. Je suis ravie.

Les promesses de cette huile sont:
  1. Hydrate intensément
  2. Raffermit en seulement 2 semaines
  3. Aide à préserver l’élasticité
  4. Pénètre rapidement sans laisser de film gras
Leur quatrième point est donc acquis.  Pour les 2 et 3, je ne peux encore juger. Mais malheureusement depuis deux semaines, ma peau tiraille, elle se marque : elle est sèche. La promesse d'hydratation n'est pas au rendez-vous et pour moi c'est rédhibitoire.

Je vais donc retourner dans mon stock et trouver un autre soin hydratant.

Ceci est ma participation au #MardiBeauté de Parisienne à Vincennes.

lundi 12 octobre 2015

Mes 20 km de Paris






Hier j'ai pris le départ des 20 km de Paris, une course que je connais depuis toujours, une course à laquelle mon père participait et pendant laquelle ma mère m'amenait au cinéma (un cinéma en haut de l'avenue de la grande armée qui passait des films pour enfants en matinée). Autant dire que ces 20 km de Paris je les vénère depuis ma plus tendre enfance.


En revanche, jusqu'à juin dernier, jamais je n'avais envisagé y participer : trop long, trop difficile pour moi. En juin, j'ai enchaîné les courses et j'ai aimé cela. J'ai bouclé les 10 km de la Nike Womens Run en me disant que j'aurais dû m'inscrire aux 15km, pour me prouver que j'en étais capable. Et là les 20 km de Paris ont commencé à me titiller.
Une bonne canicule par dessus et je suis revenue à la raison : 20 km jamais je les tiendrai ! Trop long, peur de m'ennuyer, peur surtout de ne pas les boucler.
N'ayant pas de dossard, la question était réglée.
Et un jour, je réalise que j'ai entamé le dernier mois de ma trentaine. Sur un coup de tête j'envoie un mail à mon super partenaire TomTom, qui m'avait proposé un dossard 3 mois avant et que j'avais refusé, pour savoir s'il lui reste encore des dossards. Dix minutes après, je reçois un mail de l'organisation des 20km de Paris me donnant un lien pour m'inscrire dans l'équipe TomTom et j'ai cliqué.
Me voilà donc à deux semaines des 20 km, à la tête d'un dossard et me demandant comment j'allais tenir ce challenge. Deux semaines c'est finalement très court. Pas le temps d'une préparation officielle, pas le temps de trop stresser non plus, mais le temps de faire deux sorties plus longues pour se rassurer et surtout le temps de trouver ma partenaire de course (enfin surtout qu'elle me trouve) : Karine du blog Les délices d'Anaïs.

Avant le départ, encore fraîche !
Et hier est arrivé. Karine et moi avions un objectif commun celui de terminer ces 20 km. Dans cette aventure nous avons été rejointes par une de ses amies Marija.  Le départ a été donné et la magie de la course a opéré. Nous avons commencé à courir et nous ne nous sommes arrêtées que 20km plus loin après avoir traversé les beaux quartiers autour de la place Victor Hugo, traversé le bois de Boulogne, contourné le 16ème et arpenter les quais dans un sens puis dans l'autre. Dire que cela a été facile serait mentir : à partir du 17ème kilomètre, je n'ai avancé que grâce à ma tête et à la présence réconfortante de Karine, le 19ème kilomètre a été mal métré et doit faire au moins 5 km en vrai et je pense que quelqu'un déplaçait à mes dépens l'arche d'arrivée puisqu'elle ne se rapprochait jamais.
Malgré tout, nous avons terminé main dans la main Karine et moi (Marija en avait encore sous la semelle au 17ème et est partie devant). Nous partageons le même temps : 2h20min 49s et je pense, la même fierté d'aller au bout de ce défi.


Je suis complètement sous le charme de cette course. Alors que je pensais que je m'ennuierais, j'ai vécu chaque minute pleinement (même si parfois c'était dans la souffrance).

Un grand merci à tous pour votre soutien , un grand merci à TomTom qui m'a offert cette opportunité, un grand merci à X-bionic et à Ceramiq qui m'ont équipée pour mon confort et un immense merci à Karine qui m'a supportée tout du long, mes annonces de temps, mes calculs incessants, mes blagues nulles, MERCI !
My precious !