Ma semaine en Instagram #43 - Semaine 27

Cette semaine, le banquier du zoo et le zoo ne sont pas très copains. Enfin je pense que le banquier doit se frotter les mains de voir toutes nos dépenses et nous nous allons manger des pâtes tout le mois de juillet (ça tombe bien c'est ce que préfère le ouistiti).

Il faut dire qu'on a fait fort et qu'on s'est enfin offert un triporteur Nihola. Honnêtement, c'est un peu comme si on s'était acheté une petite voiture pour se déplacer en ville. On charge maintenant les mousticks et on se balade en vélo gaiement. L'accueil des piétons, des autres vélos et des voitures est un régal. Tout le monde nous sourit, on aurait presque l'impression de se déplacer avec un couple royal que tout le monde salue sur son passage.

Départ pour la piscine : tout le bazar est dans la caisse

Pour continuer sur notre lancée, je me suis offert ma première paire de repetto et ma première paire de Mizuno : le grand écart de la chaussure côté style mais une équivalence en terme de confort. C'est les soldes et je ne pouvais me passer d'aucune des deux paires ....

Enfin j'ai été merveilleusement gâtée par le Grand Lion (parce que je suis merveilleuse, n'en doutons pas), Grand Lion qui a lu avec attention le blog.

Mon autoportrait de la semaine #igdefi

Une semaine très matérielle mais finalement pas que ... sur une idée de Madame parle.

Daily Wagon : quand les fish & chips débarquent à Paris !

Mon grand frère a habité Londres une dizaine d'années et pendant ces 10 ans, j'ai profité de son hospitalité pour arpenter les rues de Londres. Un été, j'ai même squatté un mois chez lui pour bosser : un mois à servir des pizzas au pied de Harrods. Pendant un mois, j'ai ramené tous les soirs la pizza qui m'était offerte en tant qu'employée à l'appart et pendant un mois mon frère a mangé une pizza tous les soirs. Moi, ne pouvant plus voir une pizza (et encore moins en manger), j'ai mangé ce qui traînait dans le frigo (et il n'y avait pas grand chose, mon frère se nourrissant de pizzas et moi travaillant 7 jours sur 7) et j'ai découvert les différents "take out" autour de l'appart. Je me souviens particulièrement des fish and chips où tout était servi dans des feuilles de papiers journal. Honnêtement, ce n'était pas de la grande cuisine mais bon ce n'était pas de la pizza.

Cette année, nous avons été invités à découvrir un nouveau "food truck" : le Daily Wagon fish & chips. L'idée : proposer des fish and chips en plein Paris. Alors, évidemment, en y allant je me suis rappelée mon expérience londonienne : ravie de faire un retour dans le passé mais ne m'attendant pas non plus à de la grande cuisine. Je me suis retrouvée dans les jardins des bureaux d'EMI par une belle soirée de printemps (la seule du printemps 2013, je pense) entourée de tous ses symbôles londoniens, j'ai croqué dans mon fish and chips à pleines dents et j'ai découvert le VRAI fish and chips : un filet de poisson frais et généreux dans une panure légère, frite parfaitement pour qu'elle craque mais qu'elle ne soit pas imbibée d'huile et des frites juste parfaites. Après un cornet, on a un goût de trop peu tellement c'est bon.

Ce qui est très sympa dans ce concept, outre la qualité de la nourriture et son prix (9€ cornet + boisson), c'est que ce food truck est réellement itinérant. Il se déplace en fonction des occasions et n'a pas d'emplacement fixe et récurrent. Moi, je vais veiller à passer les voir à leur prochain passage proche de chez nous : j'ai vraiment envie de faire découvrir ce symbole anglais à mes Mousticks !

Pour savoir où se trouve le Daily Wagon, devenez fan de leur page Facebook. De plus vous serez ainsi tenus au courant des prochains lancements des food truck Daily Wagon : végétarien, mexicain, américain. Moi je guette !

Nature #40 : Une histoire de cheveux

Au moment de coucher, j'ai un rituel de câlins et de bisous avec chacun des moustiques. Un soir, en plein rituel, le ouistiti me fait un bisou et s'exclame :
- Beurk, j'ai fait un bisou à tes cheveux et j'aime pas ça. Pousse tes cheveux maman.
Je m'exécute, il s'exécute et me dit :
- Moi comme je suis un garçon c'est facile.
- Qu'est-ce qui est facile, chéri ?
- Toi, tu es une fille et tu as les cheveux qui débordent et les garçons n'ont pas les cheveux qui débordent.

Il va falloir que je fasse une chasse sérieuse au cliché ....

Il a les cheveux qui débordent beaucoup plus que moi ...

J - 7 avant la sortie de Monstres Academy

Monstres et compagnie fait partie de mes films Disney préférés. Je l'ai découvert bien avant d'avoir des enfants et je me souviens avoir ri à gorge déployée avec Sully et Bob. Je l'ai revu depuis bon nombre de fois puisque les mousticks en sont complètement fans et j'ai ri à nouveau : ri des blagues et ri de les voir rire.

Alors quand j'ai découvert en avril grâce au Disney Social Club qu'un nouvel opus mettant en scène Sully et Bob allait sortir le 10 juillet, j'ai trépigné d'impatience. Nous avons eu la chance, les mousticks et moi, d'aller le voir en avant-première en juin.

On a ainsi pu découvrir l'histoire de la rencontre de Bob et de Sully et la naissance de leur amitié. Cette rencontre a lieu à l'université. Alors qu'ils sont opposés par leur comportement, ils vont devoir apprendre à coopérer, à utiliser les forces de chacun. Tout cela sur fond d'un campus à l'américaine. J'ai beaucoup retrouvé de mon expérience d'étudiante sur un campus américain : les fraternités : celles qui sont réservées à l'élite et celles de seconde zone, les associations, les dortoirs et l'ambiance ...

Nous avons tous les trois ri - pas toujours des mêmes choses mais beaucoup. Il suffit d'ailleurs que je remette la bande d'annonce aux enfants pour que nous rigolions tous les trois à nouveau. L'histoire n'a pas un déroulé classique et m'a permis d'aborder différents sujets comme tout particulièrement la différence à l'école avec mon moustizèbre. Les personnages sont toujours aussi convaincants et tous les trois, nous avons été conquis par le personnage de la doyenne Hardscrabble à laquelle Catherine Deneuve prête sa voix. Vraiment un très bon film qui est à la hauteur de son premier opus !

Les mousticks ont pu, suite à la projection, s'inscrire à l'école de la peur et y suivre des cours. J'ai depuis deux monstres diplômés (ils avaient toutes les compétences au préalable mais maintenant ils ont le diplôme qui les certifie). Les Disney stores proposeront cette animation pendant tout l'été. Si vous en avez l'occasion d'y aller, profitez-en : les mousticks ont adoré et moi  j'ai passé un très bon moment à les voir courir, sauter, crier, s'éclater.

Mère en colère

Aller au cinéma voir un film pour enfants ...

• c'est risquer de se retrouver dans une salle pleine d'enfants,
• c'est risquer d'entendre des enfants rire, parler, commenter, interroger,
• c'est risquer d'entendre des papiers de bonbons froissés
• c'est risquer d'avoir des sièges qui bougent un peu voire beaucoup
• c'est risquer d'avoir des enfants qui ont envie de faire pipi pendant le film et qui vont aux toilettes

Et oui Madame, aller un dimanche matin, jour de la fête du cinéma, voir Moi, Moche et Méchant 2, c'est risquer tout cela et en plus risquer de se faire engueuler par la maman de deux mousticks, parce que Madame, les réprimander parce qu'ils avaient osé parler pendant les 20 minutes de publicité et de bandes d'annonces, c'était injuste ...